Traditional Territory Acknowledgment
The land that is known as Chatham-Kent today was established as part of Treaty #2, the McKee Purchase Treaty of 1790. At that time the land was also inhabited by the Three Fires Confederacy: the Odawa, Potawatomi and Ojibwe. The Lunaapeew also lived in the area at the time, stewarding the land. The People of the Three Fire Confederacy, also known as the Anishinaabeg, and Lunaapeew Peoples agreed to the mutual sharing of the land, with obligations and responsibilities to the environment. Today, Chatham-Kent neighbours the Lunaapeew at Eelūnaapèewi Lahkèewiit which is part of the McKee Purchase Treaty, as well as the unceded territory of the Bkejwanong Walpole Island First Nation. Chatham-Kent continues to be home to diverse First Nations, Métis, and Inuit Peoples. As beneficiaries of the treaty, we recognize all Peoples have responsibilities including collective responsibilities to the land and water.
Le territoire connu aujourd’hui sous le nom de Chatham-Kent a été établi dans le cadre du traité n° 2, le traité d’achat McKee de 1790. À cette époque, le territoire était également habité par la Confédération des trois feux : les Odawa, les Potawatomi et les Ojibwe. Les Lunaapeew vivaient également dans la région à l’époque, où ils géraient la terre. Les peuples de la confédération des trois feux, également connus sous le nom d’Anishinaabeg, et les Lunaapeew ont convenu d’un partage mutuel de la terre, assorti d’obligations et de responsabilités à l’égard de l’environnement. Aujourd’hui, Chatham-Kent est voisin des Lunaapeew à Eelūnaapèewi Lahkèewiit, qui fait partie du traité d’achat de McKee, ainsi que du territoire non cédé de la Première nation de Bkejwanong Walpole Island. Chatham-Kent continue d’être le foyer de diverses Premières nations, de Métis et d’Inuits. En tant que bénéficiaires du traité, nous reconnaissons que tous les peuples ont des responsabilités, y compris des responsabilités collectives à l’égard de la terre et de l’eau.
We invite you to reflect upon how you are upholding treaty responsibilities, and to learn more about the Truth and Reconciliation Commission’s Calls to Action.